Facundo Arana a oublié sa solitude en tournant aux côtés de China Zorrilla. Après un voyage en célibataire en Europe, le bel homme de Natalia Oreiro a commencé le tournage d’un film comme protagoniste avec China Zorrilla.--------------------------------------------------------------------------------
Des passeports et des mains serrées autour de soixante-dix touristes faisaient foie pour le contrôleur de l’aéroport pour laisser l’équipage et retirer la preuve de paiement d’impôts.Vêtu d’une veste noire, un jean bleu et des chaussures au ton avec un sac à dos marron sur l’épaule gauche, il est placé derrière une femme plus grande qui mène la file.
« Hey, où allez vous ? Derrière comme tout le monde ! », est crié depuis le fond de la file, indigné par cette arrivée.
« Non, excusez moi. Je suis avec la grand-mère », répondit l’intrus. « Quoi ! Je ne le connais pas. Sécurité !, réclame la grand-mère en interpellant la voiture pleine de valises.
Cet incident pourrait se passer dans la vie réelle, mais cela correspond à la scène N°95/2 de « Toucher le ciel », le nouveau film de
Marcos Carnevale protagoniste, entre autres avec
Facundo Arana et China Zorilla qui, dans sa première étape, est tourné dans les locaux et scènes naturelles créoles et à partir de la deuxième semaine de mars il continuera en Espagne.
Justement, Facundo et China ont enregistré pendant tout l’après-midi chaud de samedi 24 dans l’aéroport D’Ezeiza , très précisément dans le secteur du nouveau check-in, à flanc des arrivées des vols internationaux et les départs de cabotage.
Jusqu’à l’arrivée d’Arana, après avoir stationné le 4x4 Mitsubishi quand les horloges de l’aéroport marquaient les 13 :15. Après avoir salué l’équipe de production, l’acteur s’est assis au bar Delicity à côté de Carnevale, le directeur et auteur du long métrage, écrit avec la collaboration de
Lily Ann Martin, José Antonio Félez et Andrés Gelós. Il écoutait entre temps les détails techniques, il dévorait une baguette au jambon et fromage accompagné d’un café. Après une heure il s’est mis dans la peau de son personnage. Devant les regards des capitaines de bord, le personnel de sécurité privé, quelques uniformes de la police aéronautique, les employés de l’aéroport et de ses belles hôtesses de l’air, les erreurs des passagers étrangers et ce qui était inévitable les curieux qui luttaient pour avoir une photo et un autographe des protagonistes, Facundo et China –aux côtés de
Cacho Irrazabal (celui qui crie au personnage d’Arana pour qu’il ne soit pas devant) – ils refassent maintes et maintes fois la scène. « Coupez », « On la refait », « Bien Facundo », « Pareil China, très bien » et « Cacho, met le en garde », étaient certaines des indications qu’apportait Carnevale.
A la fin de la journée, des sourires et des embrassades entre tous les membres de la coproduction argentin – espagnole, parce que les prises du caméraman
Juan Gómez étaient optimales, comme toutes celles qui ont été faites depuis le 19 février, quand il a entamé le tournage dans la localité de Buenos Aires d’Otamendi.
Evidement, Facundo est sorti en courant vers le parking et est monté dans le 4x4. En exhibant son meilleur sourire, il a posé pour le photographe et a parlé avec Semanario. « Je suis heureux et enthousiasme, tant avec le directeur et e film (le troisième dans sa carrière, puisqu’il avait pris part avant cela dans « Le Vol» et « Chiquititas, le coin de lumière », tous deux en 2001). « C’est un luxe qui m’a été donné », dit le bel homme au chroniqueur.
Bien qu’étant quelque peu fatigué, Facundo a pris quelques secondes pour signer un autographe à un ouvrier. « Je ne peux pas croire que l’idole de mon épouse était en face de moi », affirme l’ouvrier en retournant à son poste de travail. « Je suis encore la même personne de toujours et personne ne me changera », admet la star de 34 ans qui continue en s’occupant des gens comme quand il jouait du saxo dans une gare de métro. Bien qu’il soit réticent à parler de sa vie, Facundo affirme qu’actuellement son cœur n’a pas de propriétaire. « Je suis sans compagne », il jure et commente que ce vide est remplit par les sorties avec des amis et s’occupe de son chien. « Je l’ai laissé dans le domaine. Parce qu’il l’apportait, il devait le laisser plusieurs heure dans la camionnette et allait trop souffrir », finit le protagoniste de « Toucher le ciel » qui est sorti pour retrouver Pampa, sa chienne Golden Retriever.